Progrès et civilisation

Progrès et civilisation sont des mots que chacun de nous propose chaque jour, comme si personne n’avait aucun doute sur leur signification, et si tout le monde étaient d’accord sur leur definition.pourtant nous serions tous bien embarrasses si nous devions en donné  leurs signification precise, ou si nous devions répondre a cette question: ces mots sont il synonyme ou expriment t’ils des choses differentes?et dans ce cas ou la différence ?

Bref, nous employons ces mots étant persuades qu’ils désignent une chose très importante, mais sans savoir exactement ce qu’est cette chose si importante pour nous

Au fond, ce que notre époque entent par  le mot progrès ce sont les inventions et les découvertes qui ont depuis un siècle tellement augmenté le pouvoir d’une partie de l’humanité. Cette idee, au moins est precise.mais elle semble trop étroite et insuffisante.

Progresser implique l’idée qu’on a acquis un bien que l’ont ne possédait pas ou anéantit un mal dont on souffrait : l’idée du progrès suppose donc  une définition du  bien et du mal sur laquelle on serait d’accord. Ceci posé, on peut admettre que tout l’effort que l’homme fait pour créer les instrument ou pour découvrir des notions qui lui permettrons d’écarter les danger et les causes de la douleur dont il est entouré est bien  et par conséquent un progrès. Ainsi entendu, le progrès ne limiterait pas aux inventions, a la découverte des deux derniers sicles. Il faudrait l’entendre a tout les effort que l’homme a fait pour créer l’outillage et la science qui lui servent pour vivre, depuis la découverte des métaux la cultures des plantes, la domestication des aninaux,jusqu’ toute dernière inventions en passant par les exploration de la planete.dans ce sens, histoire de l’humanité peut apparaitre comme un immense progrès.

En outre, si l’idée du progrès suppose une définition du bien et du mal s’il n'ya de progrès que lorsque le bien augmente et le mal diminue, il est évident que pour identifier le progrès avec les découverte et les inventions il faudrait admettre que tout ce que nous pouvons faire grâces aux découvertes et aux inventions est bon. C’est encore une conclusion devant laquelle la morale se cabrent. ‘Âpres une  telle théorie il faudrait conclure que la  guerre mondiale a été un progrès sur les guerres précédentes parce quelle a tue  dix million d’homme au lieu d'en tuer quelque dizaine de milliers comme les guerres du XVIIIe siècle.

Il est évident que la science et la technique peuvent servir pour poursuivre des fins qui semblent a notre consciences mauvaise. Dans ce sens, elles ne devraient pas être des progrès si nous envisageons le progrès comme augmentation du bien et une diminution du mal. C’est d’ailleurs ce que nous admettons confusément quand nous nous refusons à confondre le progrès et la civilisation, tout en étant incapable de les distinguer.

La civilisation comme le progrès implique l’idée qu’on n’a acquis un bien qu’on ne possédait pas ou éliminé un mal dont on souffrait la civilisation est pour nous un état meilleur que la barbarie bien que nous ne sachions pas exactement en quoi il est meilleur.

Parfois nous pensons qu’il est meilleur par le plus grand raffinement des gouts tantôt par une plus grande douceur des mœurs tantôt par un plus grand esprit de justice et d’humanité. Mais nous sommes tous d’accord que ces biens quels qu’ils soit ne sont pas nécessairement lie au progrès de la science et de la technique.

En somme, tout est confusion, incertitude flottement dans les idées de progrès et de civilisation qui pourtant jouent un si grand rôle dans notre histoire. Mais nous parlons continuellement de progrès et de civilisation sans à savoir exactement de ce que nous entendons par ces mots